Le pat est la tragi-comédie des échecs.

Il n’y a pas de sport plus violent que les échecs

Il y a plus d’aventures sur un échiquier que sur toutes les mers du monde.

Pour moi, les échecs ne sont pas un jeu mais un art.

Lorsque vous avez trouvé un bon coup, cherchez-en un meilleur.

Les pions sont l’âme des échecs.

On peut tirer plus d’utilité d’une partie perdue que de 100 parties gagnées.

Même si l’adversaire joue le coup analysé précédemment, recommencez l’analyse en voyant la nouvelle position.

Toutes les manœuvres exécutées sur une colonne ouverte ont pour but ultime l’intrusion définitive sur la septième ou la huitième rangée, en plein cœur de la position ennemie.

Un joueur d’échecs c’est comme de la peinture, s’il n’est pas brillant il est mat.

Il vaut toujours mieux jouer un plan faux de façon logique que de n’avoir pas de plan du tout.

Des idées, des idées, j’en ai cent, j’en ai mille. Des bonnes, des mauvaises, applicables, irréalisables… Il suffit de faire le tri !

Lorsque le joueur le plus fort a le fou, alors c’est le fou qui est le meilleur ; lorsqu’il a le cavalier, alors c’est le cavalier qui est supérieur.

Après avoir gagné du matériel, modérez vos ardeurs. Pensez plutôt à tout protéger, à renforcer vos points faibles, à coordonner à nouveau vos pièces. Ensuite seulement, vous déclencherez l’assaut final.

Mais n’est-ce pas déjà le limiter injurieusement que d’appeler les échecs un jeu ?

Celui qui prend des risques peut perdre, celui qui n’en prend pas perd toujours.

On n’a jamais gagné une partie en abandonnant.

I never lose. I either win or learn.